DANS LES VALLÉES

Jean-Pierre Depetris, juillet 2015.




Mode d’emploi

Un livre numérique

Ce livre est écrit sur le clavier d’un ordinateur, et il est conçu pour être lu sur l’écran d’un ordinateur, que ce soit une machine de bureau, un portable, une tablette ou un ordinateur de poche. Le lecteur est donc supposé connaître sa machine et ses programmes, et savoir s’en servir sans devoir passer par une interface trop explicite pour naviguer, grossir ou rétrécir l’affichage, afficher une image, etc.

Ce livre a été écrit sur le clavier d’un ordinateur en cherchant à tirer tout le parti des outils numériques et de l’internet, et il est destiné à être lu dans ces mêmes conditions.

Le livre doublement ouvert

L’un des avantages d’un livre numérique est qu’il ne s’ouvre pas seulement du côté du lecteur, mais aussi de l’autre, du côté du web, sur le monde environnant. Plutôt que de réécrire, voire de recopier de la documentation extérieure, ou de se lancer dans des descriptions inutiles, ou encore d’accorder une trop grande confiance à la culture générale d’un lecteur, le livre numérique propose des liens qui l’invitent à aller y voir de lui-même sur des sites externes, dans le cours de la lecture. Ceci est à l’évidence une dimension nouvelle, une nature différente du texte, indéfiniment ouverte, où, sur la même fenêtre, il est possible de glisser d’un ouvrage à l’autre sans rupture, et dont les contenus font et ne font pas partie du livre, mais participent du moins de la lecture.

Naturellement, rien n’interdit de chercher ces compléments de sa propre initiative partout où l’on en éprouve le besoin. Il est même vivement conseillé de le faire : cartes géographiques, illustrations sonores, etc.

Le livre en procès

Ce livre est édité en ligne en même temps qu’il est écrit. Pas tout à fait « en même temps » cependant ; trop de réécriture sont nécessaires, surtout au début. Il serait peu avisé d’offrir à la lecture un texte destiné à être profondément remanié. Une fois que l’ouvrage a commencé à prendre forme, les modifications sont en principe moins fréquentes et moins profondes… enfin, on verra.

Le parti-pris de laisser lire un texte avant qu’il ne soit achevé offre d’abord l’avantage de pouvoir se relire comme avec un regard neuf. On se donne aussi l’opportunité d’avoir des retours en cours d’écriture ; critiques, corrections, suggestions. On y trouve enfin un moyen de contrebalancer la trop grande facilité que le numérique donne aux corrections perpétuelles, et de retrouver en partie les contraintes de la plumes.

L’édition finale

L’édition originale d’un livre numérique est forcément la dernière. L’édition complète et finale sera composée de trois versions : l’une en HTML pour être lue sur un navigateur ; une en PDF pour faciliter la recherche, les annotations, ou l’impression ; et une dernière au format ODT, pour des corrections ou des annotations à l’usage de ceux qui voudraient bien participer à la finalisation, pour le rééditer et au besoin l’imprimer selon ses goûts et ses besoins, ou pour tout autre usage à imaginer.

Dans sa version HTML, le livre est composé d’une page d’entrée, d’une note de version, d’une table des matières, d’une série de pages de plusieurs cahiers chacune, d’une ou plusieurs pages consacrées à des illustrations, et de ce Mode d’emploi.



Table des matières









© Jean-Pierre Depétris, mai 2015

Copyleft : cette œuvre est libre, vous pouvez la redistribuer et/ou la modifier selon les termes de la Licence Art Libre. Vous trouverez un exemplaire de cette Licence sur le site CopyleftAttitude http://www.artlibre.org ainsi que sur d'autres sites.

Adresse de l'original : http://jdepetris.free.fr/Livres/dans_les_vallees/




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