Mon voyage en images
Le monde de Ptolémée
Carte du XIVème siècle.
Le monde islamique plaçait le sud en haut
ci-dessous la carte retournée
L'Islam pénétra dans le Marmat au douzième siècle. Il ne s'introduisit certainement
pas en apprenant que le monde n'avait que cinq mille ans à des gens qui avaient appris à compter le
temps en Kalpas, ou en prétendant que la terre était au centre de sept cieux à qui n'avait
pas changé la cosmogonie pythagoricienne héliocentrique pour celle de Ptolémée.
Le monde, tel que même un berger le voyait, aurait pu paraître plus grand que le Créateur
qui était proposé.
Les sources chaudes
D'après Zazie
La pierre est du mauvais calcaire, légèrement poreux, que le temps et l'humidité ont déjà dégradé.
La brume qui baigne le lieu vient de plusieurs sources qui coulent dans de petits canaux en amont de la construction. L'une alimente un bassin de forme irrégulière devant l'entrée, l'autre plus bas, un lac dans une dénivellation de la roche. Il n'y a pas de végétation, même pas de terre, seulement du calcaire rose.
On aperçoit depuis le fond de la vallée d'Ar Roula les murailles d'Algarod, étendue sur les flancs d'un massif surmonté de trois pitons rocheux, chacun coiffé d'un fort.
Paysage entre Alagarod et Bisdurbal
Table Périodique des Éléments
Table des caractères US-ASCII
« Le principe de l'atomisme suppose donc qu'un nombre fini d'entités indivisibles peut constituer des suites infinies et surtout infiniment variées. La matière est composée d'un certain nombre d'atomes correspondants à un nombre fini de corps purs, qui peuvent aussi constituer un nombre indéfini d'éléments composites. Pour autant, un tel principe n'est pas nécessairement applicable à la seule physique. »
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